Le Britannique Alex Thomson (Hugo Boss), qui occupait la 5e
place du Vendée Globe
à 5h heure de Paris mardi, a heurté un objet non identifié dans l'océan Indien,
endommageant l'un des deux safrans de son bateau et détruisant un
hydrogénérateur, a annoncé son équipe. "Une réparation en urgence a permis à
Alex Thomson de rester dans la course", a ajouté l'équipe de Thomson dans un
communiqué. L'accident a eu lieu "dans la nuit du 9 (ndlr: au 10) décembre,
alors (que Thomson) naviguait à vive allure", "causant des dommages
substantiels" à son voilier, précise le communiqué. "Le skipper a travaillé
toute la nuit afin de réparer", poursuit le texte.
Cette avarie est intervenue "après un week-end de course intense alors que le skipper de 38 ans maintenait le rythme avec le groupe de tête, explique encore le communiqué. Obligé de ralentir durant les 24 dernières heures pour préserver le matériel et effectuer les réparations, Alex Thomson doit malheureusement faire une croix sur son hydrogénérateur (ndlr: système permettant de faire de l'électricité), mais le safran est en état de marche".
Deuxième choc
"Avant-hier vers 23h heure de Paris, j'ai heurté quelque chose dans l'eau alors que je naviguais à 22 noeuds, a indiqué le skipper britannique. J'étais à la table à carte à ce moment (...), dans 28 noeuds de vent". "J'ai entendu une forte détonation en avant de l'endroit où je me trouvais. J'ai d'abord pensé à un choc sur la quille ou sur une dérive. J'ai ensuite entendu une série de bruits moins prononcés sous la coque jusqu'à un gros bruit quand ça a touché le safran et l'hydrogénérateur (...), a-t-il poursuivi. J'ai vu le safran en l'air et l'hydrogénérateur traîner dans l'eau".
"L'inspection des dommages a montré que le fusible du safran s'est cassé, mais peu de dommages sont à constater sur le safran à proprement dit. En revanche, l'une des pales de l'hydrogénérateur est cassée et l'un des supports était en morceaux et est finalement passé par dessus bord", a encore précisé Thomson. Il s'est déclaré optimiste en ce qui concerne la réparation de la tête de safran endommagée et "pense avoir les deux safrans en état de marche ce (mardi) matin". Un deuxième choc avec un OFNI, sans gravité, a eu lieu la nuit dernière, a indiqué Thomson, notant que "heurter deux fois quelque chose en 24 heures n'est pas courant".
Cette avarie est intervenue "après un week-end de course intense alors que le skipper de 38 ans maintenait le rythme avec le groupe de tête, explique encore le communiqué. Obligé de ralentir durant les 24 dernières heures pour préserver le matériel et effectuer les réparations, Alex Thomson doit malheureusement faire une croix sur son hydrogénérateur (ndlr: système permettant de faire de l'électricité), mais le safran est en état de marche".
Deuxième choc
"Avant-hier vers 23h heure de Paris, j'ai heurté quelque chose dans l'eau alors que je naviguais à 22 noeuds, a indiqué le skipper britannique. J'étais à la table à carte à ce moment (...), dans 28 noeuds de vent". "J'ai entendu une forte détonation en avant de l'endroit où je me trouvais. J'ai d'abord pensé à un choc sur la quille ou sur une dérive. J'ai ensuite entendu une série de bruits moins prononcés sous la coque jusqu'à un gros bruit quand ça a touché le safran et l'hydrogénérateur (...), a-t-il poursuivi. J'ai vu le safran en l'air et l'hydrogénérateur traîner dans l'eau".
"L'inspection des dommages a montré que le fusible du safran s'est cassé, mais peu de dommages sont à constater sur le safran à proprement dit. En revanche, l'une des pales de l'hydrogénérateur est cassée et l'un des supports était en morceaux et est finalement passé par dessus bord", a encore précisé Thomson. Il s'est déclaré optimiste en ce qui concerne la réparation de la tête de safran endommagée et "pense avoir les deux safrans en état de marche ce (mardi) matin". Un deuxième choc avec un OFNI, sans gravité, a eu lieu la nuit dernière, a indiqué Thomson, notant que "heurter deux fois quelque chose en 24 heures n'est pas courant".
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